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Sérigraphies réalisées spécialement pour la Biennale Son et coéditées par Biennale Son et KaPa Books.
L’œuvre existe également sous forme de leporello, coédité par Biennale Son, Edition Taube et KAPA Books.
Artiste invité lors de la première édition de la Biennale, Horvitz a proposé une série de courts poèmes invitant à se connecter à l’environnement.
Ces textes, en anglais et en français, ont été mis en espace par le graphiste Romain Iannone. Ils ont été diffusés sur le réseau d’affichage valaisan, sur un grand panneau en centre-ville — où l’EDHEA (École de design et Haute école d’art du Valais) programme régulièrement des propositions graphiques et artistiques — ainsi que dans la presse locale.
David Horvitz (né en 1982, basé à Los Angeles) a étudié à l’Université de Californie et à l’Université Waseda de Tokyo avant d’obtenir un MFA au Bard College en 2010. Influencé par Bas Jan Ader et On Kawara, il explore de manière poétique nos relations au temps, au langage et aux échanges, à travers l’écriture, la photographie, la performance, le mail art ou encore des interventions dans des contextes numériques, naturels ou sociaux. Lauréat de la bourse Follow Fluxus – After Fluxus à Wiesbaden (2020), il a été salué pour l’esprit à la fois ludique et critique de sa pratique, ainsi que pour son usage de moyens simples et quotidiens pour exprimer des idées complexes. Horvitz décrit l’océan comme son « atelier »: dans When the ocean sounds (2020), il a transcrit ses sons à l’aide de l’alphabet anglais pour créer des posters et un drapeau. Parmi ses autres œuvres figurent l’envoi de boutures de son jardin californien à Berlin durant le confinement, ou encore l’enfermement de l’Air de LA dans des fioles de verre, hommage à Duchamp qui évoque aussi la menace virale et la fumée des incendies.
Portfolio de 5 sérigraphies
Format: 70 × 100 cm
Édition limitée à 20 exemplaires (non divisible),
numérotés, datés et signés par l’artiste
Prix 1500 CHF